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L’inventeur de la presse à repasser
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Comment je me suis (enfin) mis au repassage ?

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La presse à repasser va-t-elle me réconcilier avec le repassage ?

Dans mon couple, l’organisation des tâches ménagères est différente de la norme. Ayant mon bureau à domicile, il est plus facile pour moi de prendre en charge une grande partie de l’entretien de la maison et du quotidien.

Il y a toutefois une chose que je ne fais JAMAIS, c’est le repassage ! Je déteste ça et je ne repasse que lorsque des obligations familiales ou professionnelles l’exigent. Et encore, il faut m’entendre râler lorsque je dois sortir ma planche à repasser, l’installer dans une cuisine exiguë et remplir d’eau un fer qui, visiblement, n’est pas pensé pour ça.

Aussi, lorsque Elnapress France m’a proposé de tester leur toute dernière presse à repasser en me promettant qu’elle allait radicalement changer ma manière de considérer le repassage, j’avoue avoir été curieux, voir même impatient de m’y mettre.

Repasser avec une presse, ce que ça change réellement

La presse pour le repassage, c’est tout d’abord un souvenir personnel. Lorsque j’étais plus jeune (ah, le charme des années 80…), ma mère possédait un modèle de chez Elna (marron si ma mémoire ne me fait pas défaut). Je la revoie donc assise, dans notre cuisine, à repasser le linge de maison et les chemises de mon père.

Tout le concept de la presse à repasser est résumé dans cette ébauche de souvenir. Pour repasser son linge avec cet appareil, plus besoin d’une table à repasser ni d’un fer. Mais une seule machine, posée sur une table, et un utilisateur assis et non plus débout. Bref, une philosophie totalement à l’opposé de ce qui se pratique habituellement.

Comme vous pouvez le voir sur la photo, une presse à repasser est composée d’une grande semelle chauffante (7 fois la taille de celle d’un fer pour le modèle Elnapress), d’une double poignée et d’un tableau de bord pour contrôler la température.

Ici, c’est la pression exercée par la presse qui va permettre un repassage impeccable.

Déballage

La presse est livrée dans un emballage classique, bien protégée. Je la pose sur ma table à manger. Elle est pèse environs 11 kilos et se déplace sans efforts particuliers. Une fois posée, un constat s’impose à moi : elle est véritablement magnifique ! Livrée dans une couleur rouge intense et métallisée, cette presse à repasser est superbe à regarder. Pour une fois qu’un appareil ménager est beau, je suis le premier à m’en réjouir.

Sur la partie supérieure de la Elnapress, je découvre un tableau de bord électronique simple à utiliser. Une touche sur le bouton « plus » allume la presse. Une pression supplémentaire permet de sélectionner le programme adéquat. A l’inverse, la touche « moins » permet logiquement d’aller dans l’autre sens puis d’éteindre la machine.

On trouve dans la boite un Vapojet (j’y reviendrai plus tard), une housse de rangement, une housse pour la semelle ainsi qu’une autre pour la jeannette intégrée.

Un CD est également présent et contient des vidéos de formation. J’avoue ne pas l’avoir regardé car une formation sur-mesure m’attend au siège parisien d’Elnapress France.

Une formation sur-mesure avec Françoise de Elnapress France

La célèbre marque propose aux utilisateurs qui le désirent une formation pour apprendre le fonctionnement de leur presse. Car repasser avec une presse est bien différent d’avec un fer. Le maniement change radicalement et permet de gagner en rapidité.

Je suis accueilli par Françoise, la responsable formation, qui me présente le fonctionnement global de cette machine. Branchement, réglage de la température et maniement des poignées. Ce modèle est équipé de deux poignées. La première permet de rabaisser la semelle chauffante, la seconde assure une bonne fermeture de l’ensemble et d’exercer les 45 kilos de pression. Françoise m’explique l’avantage de la double poignée par rapport aux modèles concurrents : cela permet une utilisation plus douce et qui nécessite moins de force dans les bras. Je confirme !

Le cours de repassage débute tout d’abord par du linge de maison : serviettes et nappes. La vitesse d’exécution est véritablement impressionnante. Il ne faut que quelques secondes pour une serviette. Pour la nappe, un pliage simple est nécessaire en amont. On replie la nappe en 2 ou 3 dans le sens de la longueur puis en « accordéons » dans le sens de la largeur. On place le tout derrière la machine puis on ramène vers soi le tout, progressivement. De nouveau, c’est très rapide mais surtout très efficace par rapport à un fer classique.

Françoise enchaine ensuite avec les t-shirt, les polos ou les pulls. Pour tout vous dire, j’attends surtout ma bête noire : la chemise pour homme !! Avec tous ses morceaux de tissus, les manches, le col, les boutons, etc : c’est un calvaire à repasser.

C’est ici que la jeannette intégrée prend toute son utilité. Elle se déplie en quelques instants et permet de repasser les parties complexes des vêtements. Françoise repasse la première chemise en moins de deux minutes. C’est alors à mon tour.
A ma grande surprise, je ne me débrouille pas si mal pour une première fois. C’est avant tout une question d’organisation et le résultat est véritablement très bon. Je pense qu’avec un peu d’entrainement je serai imbattable !

Françoise m’explique également le rôle du Vapojet et des mousses supplémentaires. Le premier est un accessoire que l’on rempli d’eau. Il s’accroche à la poignée et à chaque pression il pulvérise de l’eau sur le tissus à repasser. En abaissant ensuite la semelle chauffante, cela créé de la vapeur. « Le grand avantage de ce système est qu’il évite le dépôt de tartre dans la machine. C’est le cause principal d’une panne d’un fer classique ». Astucieux.

Les mousses supplémentaires, quant à elles, permettent de repasser des éléments de petites tailles d’un vêtement normalement difficile à repasser.

A l’usage

De retour à la maison, je m’exerce. La presse est facile et très agréable à utiliser. J’apprécie grandement son silence de fonctionnement. Par ailleurs, la manipulation des éléments est doux et ne demande que très peu d’efforts physiques. En moyenne, un polo me prend environs 40 secondes à repasser. Les t-shirts de ma fille sont parfaitement repassé en moins de 20 secondes !
J’apprécie également de ne pas avoir de table à repasser à manipuler. C’est un changement de taille. Ne possédant pas de buanderie, je stocke la presse dans un placard situé dans le salon. En effet, après utilisation, on peut la ranger de manière verticale. Très pratique. Je la sort donc dès que le besoin s’en fait ressentir et je peux la ranger dès qu’elle a refroidit.

Une jeannette intégrée sur la presse à repasser Elnapress

Au final

La presse à repasser Elnapress Limited Edition est une machine étonnante à bien des égards et donne réellement envie d’être utilisée. J’ai apprécié sa simplicité et surtout sa vitesse de repassage. Bien entendu, elle demande un apprentissage pour en tirer sa quintessence mais quelle efficacité.
Une machine belle et rapide comme une voiture italienne : de quoi réconcilier les hommes et le repassage !

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